Un ballon

à air chaud

Pollution

Les particules fines, menace n°1 pour notre santé

Loi 25 :
des données personnelles à protéger davantage

L’Institut de politique énergétique de l’Université de Chicago (EPIC) a récemment publié un rapport qui met en évidence la menace de la pollution atmosphérique sur l’espérance de vie humaine.

Sa conclusion : si la pollution aux particules fines (PM_2,5) était réduite pour atteindre les recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), l’espérance de vie d’une personne moyenne augmenterait de 2,3 ans. Elle ajoute que les particules fines sont une plus grande menace pour la santé de la population mondiale que l’alcool ou le tabac.

Une nouvelle arme contre certains cancers

Le smog : une concentration

de particules fines

La pollution aux particules fines dans le monde (2019)

Six pays absorbent les trois quarts de la pollution mondiale

Le Bangladesh, l’Inde, le Pakistan, la Chine, le Nigeria et l’Indonésie sont les pays où la concentration de PM_2,5 est la plus élevée. Les habitants pourraient y perdre jusqu’à 6 ans de leur espérance de vie moyenne à cause de la pollution atmosphérique.

Concentration de PM_2,5 dans l’air (g/m³), en moyenne sur un an

Selon l’OMS, en 2019,

99 %

de la population mondiale vivait dans une zone de pollution trop élevée.

PM_¹⁰ = 0,01 mm (diamètre) :

poussière, pollen,

moisissure, etc.

PM_^2,5 = 0,0025 mm (diamètre) :

particules de combustion, composés organiques volatils, métaux, etc

Cheveu =

0,05 à 0,07 mm (diamètre)

Particules dites PM_2,5 : leur diamètre est de 2,5 micromètres, elles sont 20 à 30 fois plus fines qu’un cheveu et peuvent pénétrer profondément dans les poumons de ceux qui les respirent.