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Astronomie

Le mystère de l’étoile de Noël

Loi 25 :
des données personnelles à protéger davantage

L’étoile de Bethléem, ou l’étoile de Noël, était-elle une comète, une supernova, une double éclipse de Jupiter, un alignement de la Terre, de Jupiter et de Saturne devant le soleil ?

La tradition chrétienne décrit l’étoile de Bethléem comme le signe qui a annoncé la naissance de Jésus-Christ aux « Mages d’Orient ». Des siècles plus tard, des scientifiques ont estimé qu’effectivement, en l’an -7, -6 ou -5, des événements astronomiques ont pu produire d’intrigantes lumières dans le ciel, sujettes aux interprétations. Ce qui suggère aussi que Jésus serait né avant l’an 1.

Une nouvelle arme contre certains cancers

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Selon la théorie de la triple conjonction astronomique.

Autre date d’apparition possible de l’étoile (théorie de la supernova).

Jésus non recensé : il serait donc né après.

Autre date d’apparition possible de l’étoile (théorie de la double éclipse de Jupiter).

D’après, l’Évangile selon Matthieu, Jésus serait né sous son règne, donc avant sa mort, datée de l’an -4 par le théologien Emil Schürer.

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An -7

Apparition possible de l’étoile

An -6

Fin du recensement dans l’Empire romain

An -5

Naissance de Jésus ?

An -4

Mort du Roi Hérode

Un signe de la naissance de Jésus... mais en quelle année ?

Était-ce une triple conjonction ?

En 1603, l’astronome allemand Johannes Kepler a calculé qu’en l’an -7, la Terre, Jupiter et Saturne se sont alignées dans la constellation des Poissons, en mai, octobre et décembre.

Était-ce une double éclipse de Jupiter ?

En 2001, l'astronome américain Michael Molnar estime avec une modélisation informatique que Jupiter a été cachée par la Lune, les 20 mars et 17 avril de l’an -6.

Dans l’ancienne astrologie juive, Jupiter représente Roi des Dieux, Saturne symbolise la Palestine et la constellation des Poissons est associée à la Judée.

Était-ce une supernova ?

D’anciens écrits chinois retrouvés par le missionnaire jésuite Jean-François Foucquet (18e siècle) mentionnent un « k'o-hsing » en mars-avril de l’an -5. Ce terme décrivait une nova (étoile siphonnant le gaz d’une autre étoile) ou une supernova (étoile imposant).

Était-ce une comète brillante ?

C’est possible, mais à cette époque, ces petits corps célestes brillants étaient plutôt vus comme des mauvais signes d'inondations ou de famine.

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Départ indéterminé

Certains disent que les « Mages d’Orient » (probablement des astrologues de Babylone) seraient partis deux ans après avoir vu l’étoile, pour un voyage de 50 jours en chameau.

Arrivée à Jérusalem

Les Mages se seraient enquis de la naissance du « Messie » auprès du roi Hérode, qui leur indique d’aller voir à Bethléem.

En partant pour Bethléem

Les Mages auraient revu l’étoile qui « marchait devant eux jusqu’à ce qu’étant arrivée au-dessus du lieu où était le petit enfant, elle s’arrêta. »

Rois mages :
de Babylone à Bethléem

en cinq minutes

Recherche et rédaction : Baptiste Zapirain

Graphisme : Karine Leblanc

Design et expérience numérique : Marcel Allard

Vidéo : Envato

Sources : Graphic News, Le Parisien, Bible

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