Un ballon

à air chaud

Lutter contre les inondations en ville

Des plantes pour boire l’excès d’eau

Loi 25 :
des données personnelles à protéger davantage

Comment absorber l’excès d’eau qui tombe sur nos têtes lors des pluies diluviennes, et que les réseaux d’égout de nos villes ne peuvent plus absorber ?

Face à ces épisodes, appelés à augmenter en raison des changements climatiques, Montréal teste une solution innovante : les noues de biorétention, soit des rigoles de végétation spécialement conçues pour capter et évaporer l’eau. Dans le parc Honoré-Mercier de l’arrondissement Hochelaga-Maisonneuve, une noue de biorétention s’étale depuis un an sur 1550 m², ce qui en fait la plus grande en ville. Elle capte l’eau qui se déverse dans le parc de planche à roulettes juste à côté.

Une nouvelle arme contre certains cancers

Land lot, Urban design, Plant, Tree, Slope, Grass, Rectangle

La noue de biorétention du parc Honoré-Mercier

17 arbres, 1500 arbustes et graminées

Peupliers, bouleaux noirs, saules pleureurs… Espèces choisies pour leur capacité à capter l’eau et les polluants, puis à faire évaporer le tout. Choisies aussi pour leur résistance à la sécheresse et aux sels de déglaçage en hiver.

50 mm

Quantité d’eau pouvant être absorbée et évaporée par la noue végétale.

Trop-plein

Conduit l’excès d’eau qui ne peut être absorbée par la noue vers le regard, avant de rejoindre les égouts.

0,3 mm / h

Quantité d’eau absorbée par le sol argileux, soit presque rien : l’eau ne descend plus, d’où l’intérêt de la noue de biorétention au-dessus, qui absorbe un maximum d’eau.