Chloé Dufour-Lapointe a d’abord souligné le parcours inspirant de Marie-Ève Bertrand, entraîneure de cheerleading depuis maintenant 15 ans, qui nous a partagé la clé du succès pour une carrière réussie. «Il faut vraiment être passionné puisque ça va demander des sacrifices, il faut donc être all-in dans le sport», explique-t-elle.

L’une des rares chanceuses à faire une carrière à temps plein comme entraîneure de cheerleading au Québec travaille fort pour construire un lien de confiance avec ses athlètes. «Un grand respect mutuel s’est bâti au fil des années. D’ailleurs, j’ai encore une excellente relation avec plusieurs de mes anciennes athlètes», confie-t-elle.

Ensuite, l’ex-athlète olympique a célébré l’engagement de Stéphane Lortie, officiel en plongeon depuis 17 ans. Celui qui détient un parcours atypique se démarque par sa rigueur qui en a fait sa renommée: «Pour aiguiser son œil et prendre de l’expérience, il faut en voir le plus possible, je dirais de 10 000 à 20 000 par année!».

Stéphane a la chance de siéger sur de nombreuses compétitions internationales. Pour lui, c’est un moment empreint de fébrilité, comme si chaque fois était la première. «Il faut dire qu’au Canada, on est réputés pour avoir les meilleurs juges au monde et la meilleure formation d’officiel·le·s, alors notre pointage est souvent attendu de tous», concède-t-il.

Vous aimeriez souligner vous aussi le travail d’un·e entraîneur·e ou d’un·e officiel·le de votre communauté sportive? Il suffit de vous rendre au vadoncjouer.ca pour célébrer votre maestro à l’aide du générateur de bravos!

L’une des rares chanceuses à faire une carrière à temps plein comme entraîneure de cheerleading au Québec travaille fort pour construire un lien de confiance avec ses athlètes. «Un grand respect mutuel s’est bâti au fil des années. D’ailleurs, j’ai encore une excellente relation avec plusieurs de mes anciennes athlètes», confie-t-elle.

Ensuite, l’ex-athlète olympique a célébré l’engagement de Stéphane Lortie, officiel en plongeon depuis 17 ans. Celui qui détient un parcours atypique se démarque par sa rigueur qui en a fait sa renommée: «Pour aiguiser son œil et prendre de l’expérience, il faut en voir le plus possible, je dirais de 10 000 à 20 000 par année!».

Chloé Dufour-Lapointe a d’abord souligné le parcours inspirant de Marie-Ève Bertrand, entraîneure de cheerleading depuis maintenant 15 ans, qui nous a partagé la clé du succès pour une carrière réussie. «Il faut vraiment être passionné puisque ça va demander des sacrifices, il faut donc être all-in dans le sport», explique-t-elle.

Stéphane a la chance de siéger sur de nombreuses compétitions internationales. Pour lui, c’est un moment empreint de fébrilité, comme si chaque fois était la première. «Il faut dire qu’au Canada, on est réputés pour avoir les meilleurs juges au monde et la meilleure formation d’officiel·le·s, alors notre pointage est souvent attendu de tous», concède-t-il.

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Arbitre fédéré de Tennis Canada depuis maintenant 20 ans, Antonio a toujours été un passionné du sport de raquette et de ses règlements. Même s’il adore son métier d’arbitre, qu’il pratique encore plus depuis sa retraite de l’enseignement primaire, la tâche peut parfois être exigeante.

«On commence à 7h le matin et on peut terminer à 22h le soir, surtout quand on est arbitre itinérant ou le seul arbitre pour un tournoi», explique-t-il. Pour Antonio, être arbitre, ça demande beaucoup de patience, de calme et d’objectivité!

Ancienne nageuse artistique, Roxane appose son œil aiguisé et attentif à son métier de juge. Pour elle, qui adore regarder les performances des nageuses, il s’agit d’un passe-temps rêvé! Eh oui: on parle bien de passe-temps, comme la plupart des juges pratiquent bénévolement.

Il reste que le métier comporte son lot de défis: «Ça arrive souvent que les athlètes, les parents ou les entraîneur·e·s soient mécontents de la note finale, mais la plupart du temps, on réussit toujours à s’expliquer», souligne Roxanne, optimiste.